J’avais mis de côté cet article de France culture qui est sorti au moment du festival « climax » à Bordeaux durant la première quinzaine de septembre.
Après l’avoir lu, j’ai été ému par les propos de Jane Goddall et Edgar Morin et je voulais partager cette lecture avec vous pour deux raisons :La première, c’est l’espérance de Jane Goddall dans la jeunesse ! Je cite les propos recueillis par France culture : « Partout où je vais, dit la primatologue, je vois les yeux brillants des enfants, les étudiants qui veulent dire à Dr Jane ce qu’ils ont fait pour rendre le monde meilleur. »La deuxième, c’est le non-défaitisme d’Edgar Morin qui nous pousse à nous engager ! Autrement dit, « jeunesse » et « engagement », voilà des mots qui font écho à ceux du roman 2152. PaulJe mets les liens de mes références pour celles et ceux que ça intéresse :